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BERENICE », ROME L’UNIQUE OBJET DE MON RESSENTIMENT BĂ©rĂ©nice » texte Jean Racine, mise en scĂšne CĂ©lie Pauthe, TnBA Bordeaux, du 9 au 13 avril 2019. L’histoire est une tragĂ©die sans fond
 surtout pour les femmes amoureuses qui ne peuvent admettre que l’on sacrifie les liens les plus forts Ă  une raison d’Etat dont la raison leur Ă©chappe. Ainsi l’hĂ©roĂŻne de Corneille, Camille – sƓur d’Horace, celui qui pour venger Rome de la mort de ses deux frĂšres n’hĂ©site aucunement Ă  passer au fil de son Ă©pĂ©e les trois Curiace au nom desquels figure, cruautĂ© du sort, l’amant albain de sa sƓur – hurlant sa douleur d’ĂȘtre ainsi privĂ©e Ă  jamais de son amant dont le seul tort Ă©tait de n’ĂȘtre point Romain. Ainsi BĂ©rĂ©nice, hĂ©roĂŻne racinienne intemporelle, refusant d’ entendre » l’évidence de la mise en piĂšces de son amour perdu afin de reculer l’annonce de la cruelle vĂ©ritĂ© qui la verra s’abĂźmer dans une douleur abyssale. L’amant tremblant a en effet choisi Rome Ă  elle, Reine de JudĂ©e, Ă©trangĂšre que le SĂ©nat ne peut dans ses lois inscrites dans le marbre accepter comme Ă©pouse de l’Empereur vainqueur Titus, le glorieux destructeur du Temple de JĂ©rusalem placĂ© sous le sceau de l’interdit d’épouser autre que Romaine
 mais aussi l’homme inabouti, dĂ©chirĂ© par des pulsions l’amenant, Ă  son corps dĂ©fendant », Ă  donner raison Ă  ceux qui le condamnent en acceptant de perdre in fine celle qu’il aime plus que de raison. Dans un dĂ©cor de sable, Ă©vocateur du sol mouvant se dĂ©robant sous les pieds des acteurs du drame, Ă©merge un salon contemporain. LĂ , en habits de ville, les protagonistes vont rejouer leur destin scellĂ© pour l’éternitĂ© BĂ©rĂ©nice », 1670 – Racine. Et mĂȘme – exception du genre – si aucun d’entre eux n’aura Ă  mourir devant nous ce soir Cf. le prologue de l’Antigone d’Anouilh, les passions Ă  l’Ɠuvre vont sans rĂ©pit aucun les dĂ©chirer. En respectant scrupuleusement la scansion des alexandrins, CĂ©lie Pauthe rĂ©ussit littĂ©ralement un exploit digne des hĂ©ros qu’elle met subtilement en scĂšne dans leur fragilitĂ© exacerbĂ©e, celui de faire entendre la petite musique » du siĂšcle classique sous les projecteurs d’un Ă©clairage contemporain. D’autant qu’elle convoque fort Ă -propos CĂ©sarĂ©e » – le court mĂ©trage de Marguerite Duras tournĂ© en 1979 – pour scander Ă  plusieurs reprises l’action du plateau en projetant en fond de scĂšne ses plans mythiques, accompagnĂ©s en off par la voix chaude et profonde de leur auteure Ă©grenant un commentaire d’une poĂ©sie Ă  fleur de peau. Saisissante mise en abyme de la douleur de la Reine de JudĂ©e, CĂ©sarĂ©e en ruine, une ville dont il ne reste que le nom rĂ©sonnant du souvenir de BĂ©rĂ©nice, reine des Juifs, rĂ©pudiĂ©e, chassĂ©e de la ville antique par Titus, son honteux amant renvoyant s’ensevelir dans le sable de JudĂ©e son amour, contre toute raison, si ce n’est celle de l’Etat et celle de son moi inaccompli. Que ce soit l’amoureux Antiochus, brĂ»lant d’un amour secret pour BĂ©rĂ©nice sans rĂ©ciprocitĂ© de sentiments, ou les amants BĂ©rĂ©nice et Titus, partageant la mĂȘme passion dĂ©vorante, ces nobles figures roi, reine et empereur se livrent corps et Ăąmes quand bien mĂȘme devraient-ils en mourir – du moins, tour Ă  tour, chacun le croit-il un moment – aux tourments du sentiment amoureux. Furieusement travaillĂ©s en leur sein par ce qui trame leur rapport au monde en en constituant l’horizon d’attente, ils tentent sans force et sans armure – tel le Don Quichotte de Jacques Brel – et chacun Ă  leur maniĂšre d’échapper Ă  sa fureur. Ce qui les rend touchants, c’est l’endroit mĂȘme de leur fragilitĂ©, y compris l’Empereur Titus qui, s’il met en avant la raison d’Etat comme un bouclier brandi, apparaĂźt Ă  bien des Ă©gards comme une forteresse vide dont les jours de rĂšgne, eu Ă©gard au prix Ă  payer, sont dĂ©libĂ©rĂ©ment comptĂ©s. Lorsque la voix de Marguerite Duras amplifie le drame en le rendant atemporel – CĂ©sarĂ©e, l’endroit s’appelle ainsi, CĂ©sarĂ©e
 Il n’en reste que la mĂ©moire de l’histoire et ce seul mot pour la nommer, CĂ©sarĂ©e
 Le sol, il est blanc. De la poussiĂšre de marbre mĂȘlĂ©e au sable de la mer
 La douleur de leur sĂ©paration
 Le voyage sur la mer dans le vaisseau romain, la Reine foudroyĂ©e par l’intolĂ©rable douleur de l’avoir quittĂ©, lui, le criminel du temple
 » -, il nous semble faire partie intĂ©grante de cette Histoire tant l’alternance des plans fixes du court-mĂ©trage, tournĂ© entre autres dans le Jardin des Tuileries, se mĂȘlant au jeu fascinant de vĂ©ritĂ© des acteurs et actrices en habits de ville, abolit tout repĂšre temporel et crĂ©e une alchimie envoĂ»tante
 J’ai toujours pensĂ© que l’amour se faisait Ă  trois, un Ɠil qui regarde pendant que le dĂ©sir circule de l’un Ă  l’autre », Ă©crivait Ce soir l’Ɠil dĂ©cuplĂ© Ă©tait dans la salle, et regardait Antiochus, BĂ©rĂ©nice et Titus, se laissant prendre » par le retour de la refoulĂ©e. Yves Kafka Photos Elisabeth Carecchio.

RomeUnique Objet De Mon Ressentiment Page 26 sur 50 - Environ 500 essais libertĂ© 49263 mots | 198 pages Encore une fois, je ne veux Ă©tablir ici aucun objet de comparaison entre Euripide et moi ; mais je cite ce trait Ă  l’honneur immortel des muses françaises, qui, comme celles d’AthĂšnes, – 10 – peuvent apporter par tout pays des consolations aux victimes de la
Nouveau Quiz 1 Trouver la figure de style avec tous les indices Record en 20,44s par Mounis Nouveau Quiz 2 Trouver l'auteur et l'Ɠuvre correspondant Ă  une citation Record en 20,88s par Mounis Nouveau Quiz 3 Trouver la figure de style Ă  partir d'une brĂšve dĂ©finition Record en 19,87s par Mounis Nouveau Quiz 4 Trouver la figure de style Ă  partir d'exemples Record en 20,80s par Mounis Nouveau Quiz 5 Identifier la figure de style prĂ©sente dans le texte Record en 16,87s par Mounis
Romel’unique objet de mon ressentiment ! Rome à qui vient ton bras d’immoler mon amant ! Rome qui t’a vu naütre et que ton cƓur adore !

Rome, l'unique objet de mon ressentiment Comme une rengaine. Ces petits trucs que l'on se rĂ©pĂšte. En attendant... Godot. ». Jeux de mots bidons. De vieux khĂągneux. Bidons. Bon d'accord, je dois avouer que mon esprit est peut ĂȘtre particuliĂšrement portĂ© sur ce genre de trucs. Donc pour moi Rome, au dĂ©but, ça rime avec ça Rome, l'unique objet de mon ressentiment, Rome, Ă  qui vient ton bras d’immoler mon amant, Rome qui t'a vu naĂźtre et que ton cƓur adore, Rome, enfin que je haie parce qu'elle t'honore.» Ça aurait pu ĂȘtre pire. Vraiment pire. Du Corneille tout de mĂȘme. Rome, l'Empire Romain, Jules CĂ©sar et tout le cirque. Mais ça, c'Ă©tait avant. Car aprĂšs quatre jours passĂ©s dans la ville des amoureux, Rome rime dĂ©sormais avec Dolce Vita, pins parasols, Via sacra et basilique Saint-Pierre. Et lĂ , ça y est, je tombe dans le clichĂ©. L'humanitĂ© quasiment dans son entier est unanime et enthousiaste. Rome est Ă  tout le monde et appartient un peu Ă  chacun. Oui, parce que, cet Ă©tĂ©, je suis allĂ©e Ă  Rome. Pour faire un dernier pied de nez Ă  l'histoire romaine sur laquelle j'ai tellement souffert cette annĂ©e. Pour voir si traĂźner ma peine dans toutes les grandes villes de l'Europe du sud effacerait -mĂȘme pour un temps - ma dĂ©ception. Je suis allĂ©e Ă  Rome par dĂ©fi. Pour oublier. Pour me confronter aux clichĂ©s. Un peu comme ces jeunes nobles du XVIIIe siĂšcle qui entreprenaient de parcourir l'Europe, moins pour dĂ©couvrir que pour vĂ©rifier leurs connaissances. Je suis donc partie avec la ferme intention de voir si l'on ne m'avait pas menti. Et alors ? C'est si beau qu'on le dit ? À l'UGC OdĂ©on, mon centre du monde, j'ai vu fin juin, au beau milieu de mes oraux, le film de Woody Allen, espĂ©rant une mise en bouche Ă  cette superbe escapade. Mais la magie n'a pas opĂ©rĂ©. Du coup, je me suis dit que j'irai aussi dans la ville Ă©ternelle vĂ©rifier que Woody Allen se trompe, que cette ville emblĂ©matique et mystĂ©rieuse n'est pas le tissu de clichĂ©s que nous livre ce vieil AmĂ©ricain en mal de beautĂ©s, d'Histoire et d'authenticitĂ©. Bon. Ok. Je suis un peu vache lĂ . Mais, sans blague, depuis Match Point, c'est quoi ces errances europĂ©ennes ? En revanche, lĂ  oĂč finalement ces films sur les grandes capitales sont Ă  mon point de vue intĂ©ressants, c'est parce qu'ils nous permettent de voir comment les AmĂ©ricains considĂšrent, apprĂ©hendent, vivent - Whatever works;- l'Europe. Rome vue par un AmĂ©ricain est absolument, totalement, dĂ©finitivement ;- diffĂ©rente de celle vue par un europĂ©en. Et pourtant, la magie opĂšre. Des deux cĂŽtĂ©s de l'Atlantique, les frĂšres ennemis se rejoignent pour vanter les beautĂ©s de la belle italienne. Bon, toutes ces considĂ©rations, ces pensĂ©es profondes », ces petits agacements, toute cette histoire me tracassait » comme on dit chez moi. Et donc, passĂ©iste, bien souvent de mauvaise foi, Ă  la recherche d'exotisme et de soleil efficaces » aprĂšs une annĂ©e parisienne des plus Ă©prouvantes, me voilĂ  partie avec deux copines aussi surexcitĂ©es que moi, bien dĂ©cidĂ©e Ă  vĂ©rifier si la magie de Vacances Romaines opĂšre toujours et Ă  comprendre un peu mieux celle de From Rome with love. Vous l'aurez saisis Rome est une ville que je qualifierais - pompeusement peut-ĂȘtre - de cinĂ©matographique. Les comparaisons et les rĂ©fĂ©rences sont nombreuses. Et il est au dĂ©but difficile de ne pas penser Ă  certaines scĂšnes mythiques. Je m'attendais Ă  voir Anita Ekberg sortir de la fontaine de Trevi ou Audrey Hepburn surgir sur la place d'Espagne. Mais il n'en fut rien. PremiĂšre aprĂšs midi sur le Forum et un violent orage Ă©clate. La pluie sur le forum, les dieux qui nous parlent et la fin d'un cycle ?- Oui je peux ĂȘtre un peu mystique parfois. Mais il fallait trĂšs vite sortir des images, des rĂ©fĂ©rents. Il le fallait bien car le cinĂ©ma, c'est bien connu, c'est pas la vie hein?;-. Ça a donc Ă©tĂ© le premier dĂ©fi. Gratter le vernis, voir l'envers du dĂ©cors, pĂ©nĂ©trer derriĂšre les façades baroques des Ă©glises. Et lĂ , vraiment, ça vaut le coup. La dĂ©couverte, dans une chapelle de l'Ă©glise Saint-Louis-des-Français, des tableaux du Caravage. Chaque entrĂ©e dans une Ă©glise rĂ©serve une surprise, un Ă©merveillement. Et on a presque envie parfois du coup de croire en Dieu... Ajoutez Ă  cela un tour de vĂ©lo -habituĂ©es du vĂ©lib' oblige ! Et lĂ  ouais. Vraiment. CarrĂ©ment mĂȘme. La magie a opĂ©rĂ©. Se perdre dans Rome en vĂ©lo, tel Nanni Moretti sur son scooter. Monter et descendre les emblĂ©matiques collines. Prendre les grands axes presque dĂ©serts en aoĂ»t. Avoir des sensations de glisse et aussi, allez je l'ose, de libertĂ©, en descendant Ă  fond la caisse les pentes de la villa BorghĂšse. Bon, j'ai Ă©tĂ© conquise. MĂȘme - surtout » diront certaines- par les glaces. Oui, normalement je n'aime pas beaucoup les glaces mais, Ă  Rome, c'est diffĂ©rent. Ainsi, ce n'est pas le film de Woody Allen en forme de testament que j'ai rejouĂ© Ă  Rome ni celui de William Wyler. Je ne suis pas AmĂ©ricaine. C'en est un autre. Le mien. Il y a des milliards de choses que j'aurais pu Ă©voquer. L'amour Ă  Rome ! Mais j'y suis allĂ©e entre copines. Le Vatican et les cohortes d'asiatiques ! Mais cela participe, Ă  mon sens, Ă  un autre dĂ©bat plus large et plus complexe. Alors, s'il est vrai que l'on part tous avec des idĂ©es prĂ©conçues, des clichĂ©s en tĂȘte, tout s'affine et s'explique. Rome, en fait c'est vrai, c'est une sĂ©rie de clichĂ©s. Des images, des monuments, des rĂ©pliques de film ou de théùtre, des pizzas. Mais Rome sublime ces clichĂ©s. Rome donne ses quartiers de noblesse au mot clichĂ©, lieux communs, banalitĂ©s que l'on redit souvent et dans le mĂȘme terme » selon le Larousse. Alors, amĂ©ricain, europĂ©en, finalement qu'importe ! Puisque les lieux se laissent apprivoiser et que, dans leur extrĂȘme richesse, ils permettent Ă  chacun de s'adonner Ă  ses propres Ă©motions, Ă  ses propres rĂ©inventions, Ă  ses propres redĂ©couvertes. Et pouvoir juste redĂ©couvrir de nos jours, ça peut paraĂźtre insuffisant, mais c'est peut ĂȘtre la clĂ© de tout. Et c'est surtout donner, une fois n'est pas coutume par les temps qui courent, Ă  tout le monde.

Or ils sont liĂ©s Rome, l'unique objet de mon ressentiment ! par des liens familiaux et affectifs. A l'issue du combat, Horace victorieux, mais seul Rome, Ă  qui vient ton bras d'immoler mon amant ! 35 rescapĂ©, rentre dans sa famille et doit affronter la douleur de sa soeur, Camille, fiancĂ©e qui t'a v u naĂźtre, et que ton c Ɠ u r adore !

IL'opposition AL'antithĂšse AntithĂšse Une antithĂšse est une figure de style qui consiste Ă  rapprocher deux mots ou deux groupes de mots contraires."Ton bras est invaincu mais non pas invincible."Cette citation, tirĂ©e de la piĂšce Le Cid de Corneille, est une antithĂšse. BL'oxymore Oxymore Un oxymore est une figure de style qui consiste Ă  rapprocher deux mots qui s'opposent."Cette obscure clartĂ© qui tombe des Ă©toiles."Cette citation, tirĂ©e de la piĂšce Le Cid de Corneille, est un plupart du temps, l'oxymore est composĂ© d'un nom et d'un adjectif. CLe chiasme Chiasme Un chiasme est une figure de style qui consiste Ă  disposer des Ă©lĂ©ments dans une phrase selon le modĂšle ABBA. Ce chiasme peut ĂȘtre Grammatical adjectif - nom - nom - adjectif SĂ©mantique mot de champ lexical 1 - mot de champ lexical 2 - mot de champ lexical 2 - mot de champ lexical 1 "La beautĂ© sur les fronts, dans les cƓurs la pensĂ©e."Cette citation, tirĂ©e du poĂšme "Melancholia" de Victor Hugo, est un chiasme. AL'allĂ©gorie AllĂ©gorie Une allĂ©gorie est une figure de style qui consiste Ă  reprĂ©senter une idĂ©e abstraite de façon imagĂ©e."[...] l'Espoir,Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique,Sur mon crĂąne inclinĂ© plante son drapeau noir."Cette citation, tirĂ©e du poĂšme "Spleen LXXVIII" de Baudelaire, est une allĂ©gorie du dĂ©sespoir et de l'angoisse envahissante. BLa comparaison Comparaison Une comparaison est une figure de style qui rapproche deux Ă©lĂ©ments, le comparant et le comparĂ©, au moyen d'un outil de yeux sont bleus comme la l'exemple prĂ©cĂ©dent, "yeux" est le comparĂ©, "mer" le comparant et "comme" l'outil de comparaison. L'outil de comparaison peut ĂȘtre Une conjonction comme, ainsi que, etc. Un adjectif pareil Ă , semblable Ă , etc. Un verbe ressembler, avoir l'air, etc. Elle marche comme sa la forĂȘt Ă©tait pareille Ă  celle des contes de frĂšre ressemble Ă  ton pĂšre. CLa mĂ©taphore MĂ©taphore Une mĂ©taphore est une figure de style qui rapproche comparĂ© et comparant sans outil de corps de l'exemple prĂ©cĂ©dent, la figure de l'analogie est une mĂ©taphore qui associe le corps Ă  celui d'un dieu sans se servir d'outil de comparaison. Le rapprochement entre le comparant et le comparĂ© peut ĂȘtre opĂ©rĂ© de diffĂ©rentes maniĂšres Un verbe attributif Une apposition Un complĂ©ment du nom L'ours, roi de bois, marche une mĂ©taphore, il est aussi possible que le comparĂ© ne soit pas exprimĂ©."Le dernier voyage que MicromĂ©gas fit sur notre petite fourmiliĂšre."Dans l'exemple prĂ©cĂ©dent tirĂ© de MicromĂ©gas de Voltaire, "petite fourmiliĂšre" est une mĂ©taphore de Terre. DLa mĂ©tonymie MĂ©tonymie La mĂ©tonymie est une figure de style qui consiste Ă  remplacer un mot par un autre, auquel il est liĂ© logiquement par le sens par exemple remplacer le contenu par son contenant, l'objet par sa matiĂšre, ou le tout par l'une de ses parties. Boire un verre.le contenant dĂ©signĂ© par sa matiĂšre remplace le contenu, la boisson ELa personnification Personnification La personnification est une figure de style qui consiste Ă  attribuer des comportements humains Ă  des animaux, des objets ou des Ă©lĂ©ments souris rajuste ses lunettes. AL'euphĂ©misme EuphĂ©misme L'euphĂ©misme est une figure de style qui consiste Ă  attĂ©nuer un propos dont la formulation directe serait dĂ©plaisante."Il est parti" signifie "il est mort". BLa litote Litote Une litote est une figure de style par laquelle on dit peu pour suggĂ©rer beaucoup."Ce n'est pas mauvais" signifie "c'est bon". CLa pĂ©riphrase PĂ©riphrase Une pĂ©riphrase est une figure de style de substitution qui consiste Ă  remplacer un mot par une expression de mĂȘme sens."Le septiĂšme art" est une pĂ©riphrase qui dĂ©signe le cinĂ©ma. ADĂ©finition Ironie Le locuteur fait preuve d'ironie lorsqu'il semble dĂ©fendre une thĂšse qui est contraire Ă  la sienne et que le discours sous-entend, par le trop grand sĂ©rieux du discours, que ce raisonnement est tournĂ© en dĂ©rision. Le destinataire se trouve alors convaincu de l'invaliditĂ© de ce raisonnement et penche pour la thĂšse du locuteur."Ces multitudes s'acharnent les unes contre les autres, non seulement sans avoir aucun intĂ©rĂȘt au procĂšs, mais sans savoir mĂȘme de quoi il s'agit."Dans Candide, conte philosophique de Voltaire, l'auteur dĂ©crit avec ironie la guerre comme une chose ridicule et absurde. BL'antiphrase Antiphrase Une antiphrase est une figure par opposition qui formule une idĂ©e mais en exprime implicitement l'idĂ©e contraire. C'est la figure de style exprimant l'ironie par excellence. CLa prĂ©tĂ©rition PrĂ©tĂ©rition Une prĂ©tĂ©rition est une figure de style qui consiste Ă  affirmer que l'on ne dira pas ce qu'on va justement ne nommerai pas cet homme mais il s'agit de mon voisin Lucien. VLa rĂ©pĂ©tition AL'allitĂ©ration AllitĂ©ration Une allitĂ©ration est une figure de style qui consiste Ă  rĂ©pĂ©ter une ou plusieurs consonnes."Ce passage a trente pas de long et deux de large, au plus ; il est pavĂ© de dalles jaunĂątres, usĂ©es dĂ©celĂ©es, suant toujours une humiditĂ© Ăącre ; le vitrage qui le couvre, coupĂ© Ă  angle droit, est noir de crasse."Cette citation, tirĂ©e du roman ThĂ©rĂšse Raquin d'Émile Zola, est une allitĂ©ration en "t" et en "l". BL'assonance Assonance Une assonance est une figure de style qui consiste Ă  rĂ©pĂ©ter une ou plusieurs voyelles."Je fais souvent ce rĂȘve Ă©trange et pĂ©nĂ©trant."Cette citation, tirĂ©e du poĂšme "Mon rĂȘve familier" de Verlaine, est une assonance. CL'anaphore Anaphore Une anaphore est une figure de style qui consiste Ă  rĂ©pĂ©ter, au dĂ©but de plusieurs vers ou de plusieurs phrases, le mĂȘme mot ou groupe de mots."Rome, l'unique objet de mon ressentiment !Rome, Ă  qui vient ton bras d'immoler mon amant !Rome, qui t'a vu naĂźtre, et que ton cƓur adore !Rome enfin que je hais parce qu'elle t'honore !"Cette citation, tirĂ©e de la piĂšce Horace de Corneille, est une anaphore. DL'accumulation Accumulation L'accumulation est une figure de style consistant Ă  multiplier des mots voisins dans une Ă©numĂ©ration un peu se montre arrogant, prĂ©tentieux, fier et crĂąneur. AL'emphase Emphase Une emphase est un procĂ©dĂ© littĂ©raire qui consiste Ă  insister sur une expression ou un mot."Oui, mon frĂšre, je suis un mĂ©chant, un coupable,Un malheureux pĂ©cheur tout plein d'iniquitĂ©s,Le plus grand scĂ©lĂ©rat qui jamais ait instant de ma vie est chargĂ© de souillures,Je ne suis qu'un amas de crimes et d'ordures."Cette citation, tirĂ©e de la piĂšce Le Tartuffe de MoliĂšre, est une emphase. BL'hyperbole Hyperbole L'hyperbole est une figure de style par laquelle on exagĂšre beaucoup la rĂ©alitĂ©. Je crois que je pourrais rester l'Ă©ternitĂ© Ă  te cet exemple, l'indication temporelle infinie est une hyperbole qui amplifie l'amour et la beautĂ© regardĂ©e. Salem l’unique objet de mon ressentiment ! par Chienjaune RĂ©sultat de partie. 4 Participant·e·s : SmallJo; ChienJaune; Pepsy la Grenouille; arlquin ; 1 Gagnant·e : Dagon; Hier soir, nous Ă©tions 4 vaillants Ă©tudiants de Miskatonic Ă  essayer de sauver, de façon coopĂ©rative, la ville de Salem de sombres et dĂ©moniaques crĂ©atures (pour ce jeu, l’auteur n’a pas du avoir les droits
En fait non, pas unique’ objet, vu que cette annĂ©e tous les tournois sur terre battue ont Ă©tĂ© objets de mon ressentiment. Mais cette fois, j’ai une demi-excuse j’étais Ă  peine remise de ma tourista provoquĂ©e par une tortilla la semaine derniĂšre en quittant Madrid probablement Ă  cause du clebs mono-testiculaire de Madame Nadal, le fameux Biscotte, que j’ai vu tourner autour du stand Ă  tortillas et qui a sans doute postillonnĂ© dessus en aboyant Ă  tout va. Vous m’auriez vue me traĂźner sur le court lĂ , je parle de Rome, faut suivre, ça faisait peine Ă  voir. Heureusement les organisateurs m’avaient relĂ©guĂ©e sur un court en banlieue lointaine, genre mes matches n’intĂ©ressent personne, mais en l’occurrence ça m’arrangeait. De lĂ  Ă  ce qu’un petit rigolo mette sur youtube mon non-match filmĂ© avec son portable de mickey
 En tout cas, ça ne m’a pas empĂȘchĂ©e de remporter le troisiĂšme prix Ă  la tombola des joueuses, Ă  savoir un mini-four Ă  pizza pour faire des pizzas de la taille d’un pĂ©pito. C’est toujours mieux que le premier prix, qui Ă©tait d’ĂȘtre la cavaliĂšre du satyre Murray Ă  sa soirĂ©e d’anniversaire en dĂ©but de semaine. Oui, c’était censĂ© faire plaisir Ă  quelqu’un d’autre que lui. Allez demander Ă  Wozniacki ce qu’elle en a pensĂ©, puisque ça Ă©tĂ© elle l’heureuse Ă©lue. Sans suggĂ©rer une quelconque relation de cause Ă  effet, notons quand mĂȘme qu’elle a abandonnĂ© en plein match le lendemain, la morve au nez et le sanglot dĂ©goulinant de rimmel. Serena n’a mĂȘme pas eu Ă  utiliser sa poupĂ©e vaudou Ă  sa grande dĂ©ception, mais je crois qu’elle compte se rattraper sur Sharapova.
Listento Rome, L'unique Objet De Mon Ressentiment on the English music album Callas Fnac Bouquet by Carole Bouquet, only on JioSaavn. Play online or download to listen offline free - in HD audio, only on JioSaavn.
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