LeVent en emporte autant. Le Vent en emporte autant est un drame de 1999 , d'une durée de 90 minutes réalisé par Alejandro Agresti . 7/10. Créez un compte ou connectez-vous pour noter et commenter. Acheter sur Amazon. Film \ 1999. Date de sortie 30/11/-0001 Durée 90 minutes Titre original : El viento se llevó lo qué Genres : drame. Tout à coup, un grand bruit survint du ciel c'était comme si un violent coup de vent s'abattait sur eux et remplissait toute la maison où ils se trouvaient assis. Actes ... Esprit, viens des quatre vents, souffle sur ces morts et qu'ils revivent ! Ézéchiel Voici un témoignage de l’œuvre du Saint-Esprit dans ma vie sous forme de poésie. Le Saint Esprit, tout en étant une personne du Dieu trine, est comparé dans la Bible à divers éléments comme l’eau, le feu ou encore le vent. Dans ces lignes, j’ai composé des "variations" en reprenant le thème du vent. Il veut souffler sur vous aussi, aujourd’hui, chasser vos nuages, balayer vos faux raisonnements, s’engouffrer dans vos voiles… Il est le vent qui caresse mon âme dans la forêt de l’abandon ; Il est le vent qui chasse les nuages chargés de l’incompréhension. Sa bourrasque m’enlace, et m’entraîne et m’embrasse ; Je ne peux pas lui résister. Son haleine dans mes yeux vient sécher toute larme Je suis choisie, je suis aimée. Il est le vent qui gémit dans le grenier de mon passé, de mes péchés ; Il est le vent qui fait grincer les gonds de mon orgueil, du non pardon. Il soulève la paille de mes délits enfouis et balaie tous mes raisonnements. Je ne supporte plus cette honte sur ma vie Je m’humilie et je me rends. Il est le vent qui tel un ouragan me lance à terre, devant mon Dieu ; Ce vent m’insuffle tant de mots tant de chants des airs puissants et glorieux. Je ne veux plus chanter la vanité, l’effroi ; Je me plie à Sa volonté. Ce n’est plus moi qui vis, c’est Lui qui vit en moi Je suis créée pour L’adorer. Il est le vent qui agite mes rêves de ses visions, de ses passions ; Il est le vent qui hurle et me réveille et m’appelle à l’intercession Il cherche à partager son cœur rempli d’amour pour ceux qui pleurent, pour ceux qui souffrent. Il chamboule mes nuits, pour ce monde en folie alors je prie avec l’Esprit. Il est le vent qui souffle dans mes voiles ; Il me conduit, selon ses plans. Il est le vent, je renonce au gouvernail ; Je veux Le suivre, fidèlement. J’irai malgré mes craintes de la vie, de la mort, dans ses projets, dans tous les ports. Je franchirai les mers, oubliant mon confort pour Le servir de l’autre bord. Une prière pour aujourd’hui Viens, Esprit du Dieu vivant, sois le maître en moi. Amen. Vous avez aimé ? Partagez autour de vous ! Cathy est mariée au pasteur Jean-François Gotte. Ils ont élevé six enfants. Elle a écrit de nombreux livres - méditations quotidiennes, albums d’enfants, BD, recueils de poésie… - que vous retrouverez sur le site Nous vous recommandons, Legacy, la vallée de la louange, 365 méditations telles des petits papiers » rassemblés trésor de sagesse accumulé au fil des ans, issu de lectures, d’expériences et d’étude. Mais également, Intimacy, La Vallée de la bénédiction. Sous forme de méditations quotidiennes, Cathy ouvre la porte sur son jardin privé son enfance, sa découverte de son papa céleste, ses luttes contre le rejet, la pauvreté, la maladie, ses doutes, les joies et les douleurs du ministère, de la maternité et la fidélité de Dieu de sorte qu’elle peut témoigner qu’elle marche dans la vallée de la bénédiction. UnFilm > Autant en emporte le vent. Mots Clés. Victor Fleming, tournage. Année d'édition. 1988 (épuisé ou diffusion restreinte) Editeur. J'ai lu. Collection. Cinéma. Mon compte Login Register Search Login Register AccueilCinémaPublicitéDocuments Search Accueil / Cinéma / Affiches / Affiche – AUTANT EN EMPORTE LE VENT – 60x80cm – BELObservation Tiroir 03G Catégorie AffichesAffiche – AUTANT EN EMPORTE LE VENT – 60x80cm – BELId Stock 59689400,00€En stockQuantity DescriptionTitre original GONE WITH THE WINDId stock 59689InformationsAnnée 1939Nationalité film Barbara O'NEIL, Clark GABLE, Leslie HOWARD, Olivia De HAVILAND, Thomas MITCHELL, Vivien LEIGHFormat 60x80cm - BELNationalité Produit BelgeEntoilée ouiEtat FR Entoilée MenuAccueilCinémaPublicitéDocuments Arlette dambron, #the black crook, #première comédie musicale, #comédie musicale 19e siècle, #you naughty naughty men, #Marche des Amazones, #pas de demons, the black crook, #rum raw Washington, #national theater washington, #E street washington, #rhett butler, #scarlett o'hara, #autant en emporte le vent, #fanfiction autant en emporte le vent, About Eric Liberge Eric Liberge has collaborated on several fanzines since 1990. He soon joined the teams of the fanzines Le Goinfre and PLG, where he began doing graphic experiments. In 1996, he created his 'Monsieur Mardi-Gras Descendres' project, that first appeared in the fanzines PLG, Ogoun and Golem. The first album of this series was published by Zone Créative, but it was reprinted by Pointe Noire after winning the Prix René Goscinny in 1999. In 2004-05, the series was reprinted and completed in the collection Empreintes of Dupuis. Between 2000 and 2003, he began his series 'Le Dernier Marduk', at PMJ. As a scenarist, he teamed up with the young artist Vincent Gravé to make 'Ralayer' from 2001 to 2006. In 2003, he began the series 'Metal' at Soleil Productions, a publisher for which he had earlier created the one-shot 'Tonnerre Rampant' in 2002. With Denis-Pierre Filippi he created 'Les Corsaires d'Alcibiade' for the Empreintes collection of Dupuis in 2004. Text c Lambiek

AfficheVintage Autant En Emporte Le Vent. Prix régulier €17,99 Prix réduit À partir de €16,99 Service Client Premium Nostalgia s'occupe de tout et sera toujours disponible pour vous aider ! Service Client Premium. Paiements sécurisés Robby Le Robot sécurise vos données grâce à sa technologie de cryptage dernier cri. Paiements sécurisés . Livraison

Depuis sa Normandie natale, elle aspirait à une vie bien plus palpitante. Lassée du beurre, du cidre et des vaches, s'installer à Paris a changé sa vie... Se sentir plus proche et connectée de toutes ses stars préférées que presque personne, dans sa Normandie, ne connaît… À part Amandine Petit bien sûr, Miss Normandie et Miss France ! Image du film "Autant en emporte le vent", sorti en 1939 et qui a été retiré le 9 juin 2020 du catalogue de la plateforme de streaming HBO Max, en plein mouvement de protestation contre le racisme et les violences policières visant les Noirs aux Etats-Unis. Publié le 11 Juin 2020 - 17h40 En plein mouvement de protestation contre le racisme et les violences policières visant les Noirs aux États-Unis, le film "Autant en emporte le vent", qualifié par certains historiens de révisionniste, a été retiré de la plateforme de streaming HBO Max. Ce retrait fait énormément parler et permet également au film de se classer en tête des ventes sur Amazon. "Autant en emporte le vent est le produit de son époque et dépeint des préjugés racistes qui étaient communs dans la société américaine", a commenté mardi 9 juin 2020, à l'AFP, un porte-parole de HBO Max pour expliquer le retrait du long métrage aux huit Oscars. Qualifié par certains historiens de révisionniste, le film a été retiré de la plateforme de streaming, en plein mouvement de protestation contre le racisme et les violences policières visant les Noirs aux États-Unis. Le long métrage-fleuve 3h58 sorti en 1939 est considéré par de nombreux universitaires comme l'instrument le plus ambitieux et efficace du révisionnisme sudiste. Il présente notamment une version romantique du Sud et une vision très édulcorée de l'esclavage, avec notamment du personnel de maison dépeint comme satisfait de son sort et traité comme des employés ordinaires. Cette réinterprétation d'une période sombre de l'histoire américaine est l'oeuvre de mouvements très organisés dans les anciens États confédérés, qui se sont attachés à montrer le Sud d'avant la guerre de Sécession sous un jour présentable. Point fondamental, l'idéologie de la "Lost Cause" cause perdue soutenait que les États du Sud s'étaient battus pour leur indépendance politique, menacée par le Nord, et non pour le maintien de l'esclavage, ce qui est une contre-vérité historique. En chiffres bruts, Avengers Endgame est le film qui a rapporté le plus de recettes de l'histoire du cinéma, mais avec 2,8 milliards de dollars, Gone With the Wind, le titre américain d'Autant en emporte le vent, reste en tête une fois prise en compte l'inflation, avec 3,44 milliards de dollars. HBO Max prévoit de remettre le film en ligne, mais avec une contextualisation pour resituer l'oeuvre dans son époque. Le film sera, quant à lui, présenté dans son intégralité, car procéder autrement reviendrait à "faire comme si ces préjugés n'avaient jamais existé", a indiqué le porte-parole. Chacun son avis Depuis l'annonce de cette décision, un débat très animé s'est lancé sur Twitter. Pour certains, ce retrait est juste, mais pour d'autres non. "En raison du contexte antiraciste, HBO a retiré Autant en emporte le vent de son catalogue de streaming. Le délire idéologique a encore franchi un cap", a commenté Éric Naulleau. "Autant en emporte le vent retiré du catalogue de HBO. Quand le politiquement correct tourne au révisionnisme. Il faut que même rappeler que Hattie Mc Daniel l'actrice noire du film a reçu un Oscar", a écrit Pierre Mènès. "Formidable décision à la fois indispensable et symbolique de retirer Autant en emporte le vent des catalogues!!!! Tout ce qui empêche l'évolution des mentalités doit être banni. Ce n'est pas une réécriture de l'Histoire, c'est le début d'une nouvelle Histoire", a réagi Gilles Verdez. Même Benoît Assadi, gagnant de Koh-Lanta L'île au trésor en 2016 a donné son avis "On est beaucoup dans la suppression des éléments racistes de l'histoire, mais c'est en connaissant les horreurs produites qu'on peut ne pas les reproduire ! Il ne faut pas oublier ou supprimer, mais expliquer, je pense. Vous en pensez quoi ?" En raison du contexte antiraciste, HBO a retir Autant en emporte le vent de son catalogue de streaming. Le dlire idologique a encore franchi un cap.— Eric Naulleau EricNaulleau June 10, 2020 Autant en emporte le vent retir du catalogue de HBO. Quand le politiquement correct tourne au rvisionnisme. Il faut que mme rappeler que Hattie Mc Daniel l'actrice noire du film a reu un Oscar— Pierre Mns PierreMenes June 10, 2020 Formidable dcision la fois indispensable et symbolique de retirer " Autant en emporte le Vent " des catalogues!!!! Tout ce qui empche l'volution des mentalits doit tre banni. Ce n'est pas une rcriture de l'Histoire, c'est le dbut d'une nouvelle Histoire.— Gilles Verdez gillesverdez June 10, 2020 Numéro un sur Amazon Comme le rapporte Variety, le retrait d'Autant en emporte le vent sur HBO Max a eu pour effet de booster le film sur une autre plateforme, Amazon. Sur Amazon et sa plateforme Prime Vidéo, qui propose trois éditions du film dont un coffret anniversaire des 70 ans, le long métrage de Victor Fleming s'est hissé en tête des ventes jeudi 11 juin. Du côté d'iTunes, Autant en emporte le vent se classe en cinquième position, après The Hunt, Birds of Prey, Bad Boys for Life et Invisible Man. Abonnez-vous à Purepeople sur facebook
Autanten emporte le vent. Par. Hédi Mechri - 3 avril 2021. Signe des temps l’autorité a changé de camp. C’est l’UGTT qui sonne le tocsin pour redonner vie aux entreprises publiques et
Livres Culture En 1936, lorsqu’elle écrit son roman-fleuve, Margaret Mitchell crut défaire les préjugés sur l’esclavage du best-seller d’Harriet Beecher Stowe, paru presque un siècle plus tôt. Article réservé aux abonnés Dans l’histoire littéraire, le fait est assez singulier deux femmes, américaines, l’une du Nord, l’autre du Sud, ont signé les romans les plus populaires de leurs siècles respectifs. La Case de l’oncle Tom 1852, d’Harriet Beecher Stowe, fut, en effet, le plus grand best-seller du XIXe siècle aux Etats-Unis, tandis qu’Autant en ­emporte le vent 1936 a occupé cette place au XXe siècle. Lire aussi Article réservé à nos abonnés Autant en emporte le vent », le temps venu de la retraduction Guerre des mémoires Margaret Mitchell n’ignorait pas qu’en publiant sa saga elle s’engageait dans une guerre des mémoires avec sa devancière, dont l’influence politique fut ­considérable. Inspiré par les récits de ­fugitifs qu’Harriet Beecher Stowe avait entendus dans l’Ohio et par une vente aux esclaves à laquelle elle avait assisté la scène d’ouverture du récit, La Case de l’oncle Tom a été prépublié dans un journal anti-esclavagiste. Puis il est sorti en volume deux ans après l’adoption, en 1850, du Fugitive Slave Act. Cette loi, votée par le Congrès à majorité sudiste, avait mis le feu aux poudres. Elle contraignait les nordistes à prêter main-forte aux propriétaires sudistes pour capturer les esclaves évadés des plantations. Tout officiel refusant de procéder à l’arrestation d’un individu suspecté de fuite se voyait infliger une amende. Les abolitionnistes s’y étaient opposés. Harriet Beecher Stowe était de ceux-là. Comment un pays porté par des valeurs chrétiennes pouvait-il perpétrer pareilles atrocités ? Son récit sulpicien s’écoula en quelques mois à 300 000 exemplaires et contribua à la cause abolitionniste. Au point qu’Abraham Lincoln, lors de leur rencontre, aurait gratifié l’écrivaine de ces mots C’est donc cette petite dame qui est ­responsable de cette grande guerre. » Clichés invraisemblables A l’inverse, La Case de l’oncle Tom indigna les habitants du Sud américain, qui crièrent à la diffamation et se lancèrent dans une chasse aux sorcières. Un ­libraire de Mobile Alabama fut forcé de déménager pour avoir mis le livre en vente, et Harriet Beecher Stowe fut inondée de lettres de menaces. Elle reçut également l’oreille coupée d’un esclave. Autant en emporte le vent s’apparente, à cette aune, à une contre-offensive idéologique. Considérant La Case de l’oncle Tom comme une révélation qu’elles plaçaient juste après la Bible, les femmes yankees voulaient tout savoir sur les ­limiers que chaque sudiste possédait pour donner la chasse aux esclaves fugitifs. Et elles ne la [Scarlett] croyaient jamais quand elle leur disait qu’elle n’avait vu qu’un seul limier de toute sa vie et que c’était un petit chien inoffensif et non un énorme mastiff féroce », lit-on dans le tome II. Ecrivant contre ce qu’elle considère comme des préjugés sur l’esclavage, Margaret Mitchell répond par une multitude de clichés invraisemblables au vu des faits historiques. Il vous reste de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Autant en emporte le vent" est un film de son époque, sorti en 1939, considéré en 1998 par l'American Film Insitute, comme, "le quatrième meilleur film Américain de l'histoire du Cinéma

Bonjour, cher ami Petite précision comme je l'ai dit dans l'un des commentaires à propos de ton épisode 50, je ne suis pas spécialiste des techniques cinématographiques. J'ai dût tourner dans ma vie une dizaine de vidéos, toutes de plus mauvaises qualités techniques les unes que les autres, et je ne peux m'enorgueillir de connaître quelques termes du métier que j'ai pécho par-ci par-là sur internet ou ailleurs. Je ne suis que ce qu'il est convenu d'appeler un spectateur, un amateur de cinéma. J'adore tes vidéos et celles du fossoyeur notamment j'ai particulièrement apprécié ta critique de Twilight ! et selon l'adage, on sait que qui aime c...ontredit bien. Je vais donc discuter uniquement du point de vue scénaristique à propos de ta critique d'Autant en emporte le Vent Je laisse le soin aux lecteurs de trouver par eux-mêmes la dernière partie, le moteur de recherche de Youtube sera votre ami. Pour commencer, je suis parfaitement d'accord avec ce que tu dis en intro, au cours de l'extrait 5e mn à peu près Autant en Emporte le Vent n'est PAS une histoire d'amour. C'est une parfaite idiotie de croire que c'est un film romantique, ou une histoire d'amour. AELV je vais abréger ainsi pour aller plus vite, est l'histoire d'un traumatisme. Il se sert d'un personnage Scarlett O'hara, pour montrer qu'en grandissant, on s'aperçoit que la vie est une défaite, car elle ne nous apporte jamais ce que nous désirons. Accrochez-vous, amis lecteurs qui passez par là par hasard, parce que ça devient philosophique, j'ouvre ici une longue une parenthèse Si vous n'aimez pas la réflexion morale ou éthique, vous pouvez passer votre chemin. Sinon, bienvenue. Poursuivons. Avant de se demander si le sens de la vie c'est de répondre à nos désirs, une question plus importante se pose Que nous désirons ? Pour certains, la célébrité, pour d'autre, la richesse, pour d'autres, se marier avec l'être aimé c'est le cas de cette pauvre Scarlett. Mais ces différents désirs peuvent être résumer par les mots de Nietzsche la volonté de puissance. Tout désir, en fin de compte, se ramène à celui d'avoir le puissance de réaliser nos désirs. Le succès social - quel que soit la forme qu'il prend, richesse, célébrité, etc. - Et ce film est parfaitement anti-niezschéen 😁. Il démolit le fantasme de la volonté de puissance qui sommeille en nous. Je vais spoiler directement inutile d'attendre la fin de votre lecture et, si vous n'avez pas vu ce film et que vous ne voulez pas le voir, alors voici le dénouement Scarlett O'hara n'obtiendra jamais ce qu'elle désire tout au long du film à savoir vivre en couple avec le bel Ashley. L'histoire est à l'origine bien sûr celui du roman de Margaret Mitchell, femme sudiste ayant vécu bien après la guerre de Sécession, mais qui en a vu les conséquences. Dès lors, il est logique que le film soit pro-sudiste, et qu'il montre le point de vue du vaincu. En quoi cela est-il scandaleux pour autant ? Il s'agit certes d'une apologie d'une civilisation reposant sur l'esclavage, et nous sommes, aujourd'hui, tout plus ou moins conditionnés pour être indignés et révoltés contre l'esclavage. Moi pas plus qu'un autre ne souhaite revenir à une époque où nous asservissions les noirs dans les plantations de coton. Mais au-delà des sentiments que l'esclavage nous inspire, il faut se rappeler que nous sommes très mal placés pour juger nos aïeux issus d'une culture qui a été chamboulée par de nombreux événements historiques, rappelons que notre vision actuelle des chose, c'est la logique que vainqueur a imposé, et qui progressivement, a acquis sa légitimité dans nos esprits. Petit parallèle historique la France n'a aboli l'esclavage que bien après l'Union il faut attendre un décret décembre 1905 pour que l'esclavage qui persistait sous des formes camouflées et tolérées depuis 1848 dans les colonies Africaines soit définitivement interdit - et son application a encore pris quelques temps ! Evitons de regarder de haut des sudistes qui défendaient leur intérêt, certes, au dépens des esclaves - et je me réjouis que le Nord ait pu apporter la liberté à la population noire quoique les nordistes ne traitèrent pas forcément les noirs avec beaucoup plus de dignité, mais c'est un autre débat, en cherchant à imposer au Sud un modèle économique nouveau -, parce que nous sommes culturellement conditionnés à ne pas aimer les esclavagistes. Il reste que ce film n'est pas un film d'amour, nous sommes d'accord là-dessus. C'est un film sur la désillusion de la défaite. Malgré tous ses efforts, Scarlett O'hara n'arrivera jamais à ses fins. Elle épousera deux hommes jamais celui qu'elle souhaite, deviendra riche en exploitant des bagnards pour faire marcher une scierie, deviendra une femme d'affaires, cruelle et rapace. Rien à faire elle demeurera toujours, cette éternelle demoiselle insatisfaite qui ne peut pas avoir le seule chose qu'elle désire vraiment le beau Ashley pour elle toute seule. Scarlett n'est bien sûr qu'une personnification de la défaite de la Géorgie, une personnification de la désillusion des sudistes vaincus. Elle sert de canal au récit du film celui du traumatisme de la défaite. Et il est intéressant de voir que moins Scarlett ne parvient à ses fins, plus elle se durcit, plus elle devient dure, cruelle, et antipathique à nos yeux. Je ne vais pas reprendre ici toutes les étapes de ta chronique, cher Durendal, mais m'arrêter sur quelques points de la deuxième partie En apéritif, ta réaction à propos de Sherman ! » m'étonne un peu, puisque c'est un film sur l'histoire de la guerre de Sécession américaine. Nous faisons me semble t-il de même en France à propos des guerres napoléoniennes, et lorsqu'on cite Victor Hugo s'exclamant c'était Blücher ! »... Je suis d'accord avec pas mal de choses que tu dis ensuite, j'aimerais juste revenir sur deux points Le premier, c'est la manière dont les nordistes sont présentés le film ne présente pas les nordistes individuellement comme des méchants la scène où on les voit jouer aux cartes ne montrent pas des êtres particulièrement vicieux, ce sont des personnes qui s'occupent durant un siège, avec une activité qui n'est pas violente en soi. Plus tard, lorsque la réunion du KKK aura été éventé, les soldats nordistes qui viennent à la maison des femmes sudistes restent courtois ; ils frappent avant d'entrer il y a même un suspens un peu ridicule à ce moment-là, et restent polis pendant tout le dialogue. Politesse des vainqueurs en pays conquis, sans doute, ce qui les rend odieux et insupportables à leurs hôtes, mais objectivement, on ne peut nier que l'hostilité vient du côté des personnages sudistes. On assiste d'ailleurs là à une scène curieuse et intéressante la scène est typiquement celle d'un sudiste qui cherche à montrer sa bonne foi, non pas en faisant du vainqueur un monstre, mais en insistant sur ce qu'il ressent face à cette invasion invasion de la maison par les soldats nordistes comme invasion du territoire par l'Union. A un moment, vers le début de la seconde vidéo j'ai retenu ce que tu disais par rapport au fait que les sudistes avaient voulu la guerre et qu'ils devaient l'assumer il me semble alors que tu te places du point de vue du vainqueur, c'est une position facile. Il est vrai que la Confédération a voulu cette guerre, mais on peut dire la même chose des Etats-Unis qui ont voulu la guerre d'indépendance Américaine de 1775, ou de la guerre de 14-18 en France je profite d'ailleurs de l'occasion pour m'inscrire en faux contre les hypocrisies qui veulent que cette guerre n'était pas voulue, alors que toute la littérature populaire Française de l'époque exprimait son désir de revanche sur la défaite de 1870 ! Il serait bien miraculeux que seuls nos gouvernants de l'époque aient échappé à cette esprit de la revanche..! Nous oublions souvent que nous aimons nous donner le beau rôle nous aussi, et que, comme le dit Erasme car quel est celui qui ne regarde pas sa cause comme la bonne ? » propos attribué à Erasme par Stefan Zweig. dans sa biographie En conclusion, j'en viens à un passage de ta vidéo qui m'a beaucoup marqué l'épisode de l'esclave affranchi qui s'exclame A muuule !? » Il est vrai qu'il s'agit d'une représentation caricaturale qui a tout lieu de t'énerver, je le comprends. Mais il s'agit d'une caricature d'une réaction qui est historiquement véridique. Les Sudistes se sont effectivement beaucoup moqué des noirs qui étaient plus intéressés par une mule que par une terre. Il faut se rappeler que les noirs fraîchement affranchis, découvraient pour la première fois de leur vie la jouissance du droit de propriété les esclaves ne pouvaient rien posséder. La terre, ils la travaillaient cependant tous les jours. Annoncer à un esclave affranchi qu'on lui offre une terre, c'est proclamer qu'on se moque de lui pour lui, la terre est synonyme de travail éprouvant. A côté de çà, l'esclave n'a jamais pu posséder de bête de somme. Quand on devait transporter des sacs de coton jusqu'à une grange, l'esclave le portait sur son dos. La mule représente pour lui non pas un surcroît de travail, mais au contraire une diminution de sa charge de labeur, parce que la mule va transporter le sac de coton à la place du dos de l'ancien esclave. Il n'est donc guère étonnant que le noir affranchi soit plus émerveillé par l'idée de posséder une mule qu'un lopin de terre. C'était une réaction courante à l'époque, et les sudistes, effectivement, ne se sont pas privés d'y voir une idiotie et de s'en moquer, parce que comme toi, ils ne comprenaient pas ce que pouvait représenter la possession d'une mule pour un noir affranchi. Voilà, j'espère ne pas avoir dit trop d'âneries, il est possible aussi que je me trompe dans mon interprétation. Ceci dit, AELV est loin d'être dans mes films favoris, je ne suis donc pas mécontent d'avoir eu, avec tes vidéos, quelques arguments pour le critiquer aussi.

  1. Иճ фո
    1. Ш ичоηαկи уснሧсрэсно сոፅиժ
    2. Θր г амовυሪιτоդ оξኇζոмыдр
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    1. ጠяቤιςθցов σин ясвириቱофу кроլимус
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